Un article spécialement pour ma copine Céline

Aujourd'hui, un petit billet un peu spécial, pour quelqu'un que j'aime beaucoup.
Vendredi, à la cantine, ma copine Céline (tout ça, ça rime !) me dit : "J'aimerais bien me maquiller comme toi, mais maintenant que j'ai vieilli, les fards ne tiennent plus et ça fait moche".
Prenons les problèmes dans l'ordre :
1. Tu n'as pas vieilli, tu es magnifique.
2. Je te rappelle l'existence des bases pour fards à paupière.
Ma préférée est celle-ci : la fameuse entre toutes "Primer Potion" d'Urban Decay, ici dans sa version "anti-âge" (tant qu'à faire, autant cumuler les avantages). On a dit parfois qu'elle permettait une moins bonne tenue que la version classique. C'est juste qu'il faut la laisser sécher une minute environ, pour retrouver la même texture "gomme" sur la paupière qu'avec la version originale. Et du coup, la tenue est parfaite. Si tu veux vraiment assurer le coup, prends la Primer Potion classique. Au moins, tu seras tranquille.
J'aime bien le packaging, qui fait très "secret du génie d'Aladdin pour faire tenir les fards".

Il faut compter environ 24 euros pour 11 ml (19 euros pour la version classique). On pourrait considérer que cela revient cher, mais c'est oublier qu'il faut très peu de produit à chaque utilisation, si bien qu'un tube dure entre six mois et un an.
Voilà la valeur de ce que j'utilise : cette quantité de produit, je l'écrase entre mes deux index pour la répartir sur chacun d'eux, puis je passe les doigts chacun sur une paupière (je fais les deux en même temps, pour aller plus vite : pas de risque, même si ça déborde, puisque la texture est invisible).

Pour ma part, j'en mets sur les paupières supérieures ET inférieures (exactement comme un contour des yeux, en fait) car ça permet de faire tenir l'anti-cernes aussi bien que l'ombre à paupières.
Avec la version classique, on peut se maquiller aussitôt ; avec la version anti-âge, on attend donc une minute.
Et voilà ! A présent, on peut se maquiller COMME ON LE SOUHAITE, surtout quand on est belle comme toi : ce serait dommage de s'en priver.