En effet, vous trouverez les même avantages (une poudre vraiment très fine qui floute les défauts) et les mêmes inconvénients qu'avec M.U.F. (la poudre ne matifie pas très longtemps, il faut des retouches dans la journée, et un poudrier de poudre libre, ça ne se transporte pas) ; mais on le pardonne plus à un produit à moins de 7 euros qu'à un produit à 30 euros.
De plus, la poudre blanche a tendance à griser certaines peaux. Mais c'est là qu'E.L.F. fait vraiment très fort.
Leur poudre existe aussi dans un coloris jaune, qui peut faire peur au départ parce qu'il est plus soutenu encore que la célébrissime poudre "Banane" de T. Leclerc.
Mais cette couleur, une fois sur la peau, devient imperceptible, et elle est vraiment parfaite pour tous les teints qui ont tendance à trop tirer sur le rose ou le gris, qu'elle corrige et à qui elle donne bonne mine, été comme hiver.
La poudre jaune, une fois étalée sur ma main |
Attention, d'ailleurs, à l'application, car la poudre est vraiment volatile et très fine, alors que le tamis, lui, est très large. Versez-en seulement un tout petit peu dans le couvercle avant de prélever au gros kabuki.
C'est mieux que la houpette fournie qui, si elle est en joli velours de coton et bien épaisse, n'est pas des plus pratique pour ce produit.
Et enfin, cette poudre existe dans un coloris rosé et irisé :
Toutefois, je trouve que le rendu est aussi très pailleté et l'irisation très claire (même pour moi...) et d'un rose froid qui plombe mon teint.
Là, pour le coup, je la réserve aux soirées, juste pour illuminer le haut des pommettes et en accentuer le bombé.
Donc, c'est vraiment un chouette produit : aussi bon que l'équivalent d'une grande marque, dont il a même réussi à pallier les inconvénients, tout en se rendant accessible aux petites bourses, souvent oubliées par la cosmétique. A s'offrir sans hésiter.
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